Ein Prosit der Gemütlichkeit est la chanson plus jouée dans les tentes de bière en Bavière.

La chanson qui est joué régulièrement à l’Oktoberfest et les tentes de bière partout en Bavière s’appelle « Ein Prosit der Gemütlichkeit ». Pour impressionner vos amis, nous vous n’offrons pas seulement le texte de la chanson, mais aussi de l’information additionnel sur ses origines.

Les Paroles

Ein Prosit, ein Prosit
Der Gemütlichkeit
Ein Prosit, ein Prosit
Der Gemütlichkeit

Souvent, Ein Prosit est suivi par un toast très simple : « Oans, zwoa, drei, gsuffa! » veut tout simplement dire « un, deux, trois, bu ». Des fois, le chanteur ajoutera un vrai toast après qui est souvent une rime (au moins prétendument) drôle, peut-être ordurière.

Que veut-il dire en Français?

Heuresement, le texte ne comprend que deux mots différents :

Prosit est le conjonctive du mot latin prodesse qui veut dire « que ça soit utile ». Ce mot est en plus l’origine du mot allemand « prost », qui veut dire « à ta/votre santé ».

Gemütlichkeit signifie un état de bienêtre, de tranquillité et chaleur.

En entier, la phrase « Ein Prosit der Gemütlichkeit“ peut être traduit comme « un toast au bienêtre ».

Après la chanson, on cogne les chopes.
Après la chanson, on cogne les chopes.

Le cérémonial entier

Avant la chanson, l’orchestre exclame souvent « die Krüge hoch! », qui veut dire, « levez vos chopes » et qui est exactement ce que la foule fera conséquemment. C’est typiquement répété deux autres fois. Les orchestres aiment utiliser cette procédure pour évaluer le dégrée d’enthousiasme de la foule.

Histoire et origine

Même que la seule raison pour quelle la chanson et encore bien connu aujourd’hui et sa connexion serrée avec la culture de tentes de bière Bavaroises, son origine n’est pas Bavaroise du tout. En fait, son compositeur est le journaliste Georg Kunoth de Brème au nord de l'Allemagne. Le rédacteur en chef de Bremer Nachrichten, un journal local, aimait créer des œuvres artistiques. Ein Prosit et quand même la seule pièce qui a résisté au temps.

Responsable pour rendre la chanson immortelle fut, tout de même, un patron d'Oktoberfest.

Georg Ritzer, Postkarte „Ein Prosit der Gemütlichkeit“, 1899. Aus der Sammlung Puppentheater / Schaustellerei des Münchner Stadtmuseums.
Georg Ritzer, Postkarte „Ein Prosit der Gemütlichkeit“, 1899. Aus der Sammlung Puppentheater / Schaustellerei des Münchner Stadtmuseums.

Le patron d’Oktoberfest légendaire et extraordinairement innovateur, Georg Lang (Lang Schurl), le découvrit et utilisa pour l’une de ses nouvelletés : Quand il acquit une grande tente de bière à l’Oktoberfest de 1898, il a introduit le premier grand orchestre d’instruments à vent.

Pour chauffer le public encore plus, Lang a distribué des chansonniers gratuits dans sa tente pour que ses hôtes pussent chanter. Ein Prosit der Gemütlichkeit fut partie de la première sélection de chansons.

Cette nouvelle façon de fêter fut un grand succès et par conséquence, des grands orchestres et Ein Prosit devinrent le standard aux grandes fêtes foraines en Bavière.

Comme si son histoire n’était pas encore liée assez serré à l’Oktoberfest, avant quelques années, les droits sur la chanson ont été achetés par Wolfang Grünbauer, le chef des Oktoberfestmusikanten de la Festzelt Tradition. Ce faisant, la chanson originalement nord-allemande est finalement rendue vraiment Bavarois.

À quelle fréquence est Ein Prosit joué?

Ein Prosit der Gemütlichkeit est sans doute la chanson plus fréquemment jouée dans les tentes de Bière Bavaroises. On peut s’attendre à l’entendre environ deux ou trois fois par heure. Aux festivals plus calmes, la fréquence peut être réduit à une fois par heure.

Comme les musiciens Allemands sont obligés à faire un rapport sur toutes les chansons joué pour la société de gestion des droits, cette organisation, GEMA, peut générer des statistiques fiables sur la fréquence des chansons jouées. Devinez quelle chanson est tout en haut de la liste des chansons les plus jouées à l’Oktoberfest…